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Visite du shah de Perse à la Maison Baccarat, rue de Paradis à Paris, 1905. Cette visite témoigne des relations riches et constantes entre Baccarat et la Perse, comme l’illustrent les très nombreuses commandes de services de verres et de luminaires
Vases Uttu, collection Rencontres, Ettore Sottsass, 2002. Particulièrement massif, le vase Uttu joue sur des tailles géométriques qui préservent la pureté du cristal et permettent un effet de transparence peu commun. Il est dominé par un col en cristal teinté rouge ou vert
Exposition universelle de Paris, 1867. Investissant le Champ-de-Mars, la seconde Exposition universelle de Paris se distingue par le faste des pavillons européens et la présence de l’Asie et de l’Orient. La manufacture y présente des pièces exceptionnelles dans une mise en scène ambitieuse : autour d’une fontaine en cristal de 7,30 m de hauteur se distinguent une paire de vases couverts en cristal clair doublé de cristal rouge rubis, et de majestueux lustres et candélabres, témoignant de l’art de ses maîtres verriers. Baccarat puise dans l’ensemble du répertoire des Arts décoratifs. La manufacture obtient le Grand Prix et son administrateur, Émile Godard, se voit décerner la Légion d’honneur
Exposition universelle de Paris, 1855. Dans la droite ligne des Expositions nationales des produits de l’industrie française et de l’Exposition universelle de 1851 à Londres, l’Exposition universelle de Paris en 1855 fut l’occasion pour Baccarat de présenter des pièces prestigieuses. Parmi des créations monumentales, on note la présence de deux grands candélabres à 90 bougies, de 5,25m de hauteur, et d’un lustre spectaculaire à 140 verrines de 4,85 m de hauteur. Deux grands vases en verre agate blanc « pâte-deriz», avec des ornements végétaux en verre agate chrysoprase, impressionnent autant les visiteurs que l’empereur Napoléon III. Baccarat obtient la Grande Médaille d’honneur dans la catégorie Verrerie et Céramique
Table et nef, 1889 et 1900. Cet ensemble table et nef fait partie des créations emblématiques de la fin du XIXe siècle. La table, entièrement composée de cristal clair, présente une hauteur exceptionnelle de 85 cm. La nef, conçue en deux exemplaires pour l’Exposition universelle de Paris en 1900, aurait été inspirée d’un modèle du sculpteur Charles- Vital Cornu
En cristal opale bleu céleste, il est équipé de 30 branches à bougies en cristal clair torsadé, Dessin d’archives de la maison Baccarat, vers 1858. Ce projet correspond à un lustre en cristal opale bleu céleste, réalisé pour le palais de Dolmabahçe, où il orne un salon d’audience
Paire de vases couverts Simon, présentés à l’Exposition universelle de Paris, 1867. Conçus pour cette exposition, au cours de laquelle ils furent primés, L’Allégorie de l’Eau et L’Allégorie de la Terre sont deux vases jumeaux aux dimensions exceptionnelles (76 cm de haut) dont le décor est inspiré des oeuvres du peintre Charles-Joseph Natoire (1700-1777). Ils représentent chacun une année entière de travail, dont la complexité et la finesse ont valu au maître-graveur Jean-Baptiste Simon le privilège unique de signer son oeuvre
Dessin pour un candélabre-coupe CDC 53 à 18 bougies, dessin d’archives Baccarat, vers 1855
Service dit « du Tsar », 1906. Créé pour le tsar Nicolas II, ce service en cristal clair doublé de cristal coloré, avec sa jambe haute, son pied festonné et son décor à pointes de diamant et palmettes, est spectaculaire. Dans une gamme de six couleurs différentes, cet ensemble d’exception conquit bon nombre d’aristocrates de la cour impériale. Exclusivement fabriqué par des Meilleurs Ouvriers de France, il figure aujourd’hui encore au catalogue de la maison Baccarat
Maison de vente de Baccarat, rue de Paradis, Paris : illustration, vers 1860, photographie, vers 1898. Baccarat investit le 30 bis, rue de Paradis, à proximité de la gare de l’Est, à partir de 1832. La maison y aménage son siège, ainsi qu’un espace de vente comprenant une grande galerie pour exposer ses créations. Un musée y est installé dans les années 1960
Paire de vases couverts Simon, présentés à l’Exposition universelle de Paris, 1867. Conçus pour cette exposition, au cours de laquelle ils furent primés, L’Allégorie de l’Eau et L’Allégorie de la Terre sont deux vases jumeaux aux dimensions exceptionnelles (76 cm de haut) dont le décor est inspiré des oeuvres du peintre Charles-Joseph Natoire (1700-1777). Ils représentent chacun une année entière de travail, dont la complexité et la finesse ont valu au maître-graveur Jean-Baptiste Simon le privilège unique de signer son oeuvre
Paire de flacons du service Malmaison, pour le prince Rainier et la princesse Grace de Monaco, 1956. En l’honneur des noces de S.A.S. le prince Rainier, la manufacture réédite en 1956 cette paire de flacons à cognac, issus du service Malmaison créé en 1913. Ces flacons de style Empire sont dorés à l’or fin et revêtus des monogrammes respectifs des nouveaux époux
Vase dit « du Négus », présenté à l’Exposition internationale de l’Est de la France, Nancy, 1909. Le corps de ce vase monumental de 1,7 m de haut est constitué d’un ensemble de pièces en cristal taillé, ajustées et maintenues par des parties en bronze ciselé et doré. Baccarat créa et exécuta ce modèle en deux exemplaires pour l’Exposition internationale de l’Est de la France. Subjugué par la magnificence de ces pièces, Ménélik II, le négus d’Abyssinie, s’offrit un des vases. Un troisième exemplaire est alors réédité et la nouvelle paire porte désormais le nom de « Vases du Négus »
Ce narghilé à la conception complexe fut très probablement réalisé pour la cour ottomane. Cette création témoigne d’une époque particulière au cours de laquelle Baccarat entretint des liens privilégiés avec l’Empire ottoman
Manufacture de Baccarat, 1907
Manufacture de Baccarat, 1828
Candélabre dit « du Tsar », 1896
Verriers, manufacture Baccarat, vue intérieure de la halle à chaud, 1887. Dès les années 1830, les administrateurs de Baccarat, conformément au paternalisme industriel et au libéralisme chrétien, choisissent de mettre en place une politique sociale et des mesures sanitaires très novatrices qui lui valent un grand prix à l’Exposition universelle de Paris en 1889. Des générations d’artisans d’élite se sont succédées de père en fils, dans les ateliers à chaud de la manufacture, tandis que les femmes, arrivées dans la cristallerie en 1860 exercent davantage leur savoir-faire dans les ateliers à froid
Couverture de catalogue Baccarat représentant le Temple de Mercure, Exposition universelle de Paris, 1878
Au terme de la visite de Charles X en Lorraine en 1828, Baccarat offre au dauphin Louis de Bourbon cette aiguière taillée en cristal clair. Elle est ornée des armes de France et de Navarre, reproduites à l’or et aux émaux polychromes, comportant les trois fleurs de lys, les chaînes de Navarre, les colliers de l’ordre de Saint-Michel et du Saint-Esprit, ainsi que le double L et la couronne royale
Lustre monumental, Caliph’s Staircase (« Escalier du calife »), palais de Dolmabahçe, Istanbul, vers 1870. Au milieu du XIXe siècle, le sultan Abdülmecid lance à Constantinople la construction du palais de Dolmabahçe pour témoigner de la modernité et de la richesse de son empire. Pour équiper le palais de Dolmabahçe, du hall d’entrée jusqu’au Hall bleu, en passant par l’Escalier du calife pour arriver au Salon rouge du harem (la pièce cérémonielle), le sultan Abdülaziz commande à la manufacture Baccarat un grand nombre de lustres monumentaux en cristal clair et rouge rehaussé à l’or, particulièrement remarqués pour leurs bobèches en forme de tulipes stylisées, symboles de l’Empire turc
Dessin pour un candélabre-coupe CDC 53 à 18 bougies, dessin d’archives Baccarat, vers 1855
« Seule la perfection peut se permettre toutes les audaces », publicité, 1979
Service dit « du Tsar », commandé pour le Tsar Nicolas II en 1909
Verre d’apparat à bouton rouge, commandé pour le roi Louis-Philippe en 1840
Verre du service « François Villon », com¬mandé en 1936 pour le président Franklin Delano Roosevelt
Paire de vases « Simon » : « L’Allégorie de la Terre » et « L’Allégorie de l’Eau », gravés par Jean-Baptiste Simon, Exposition Universelle, Paris, 1867
Table et nef, Exposition Universelle, Paris, 1889 (pour la table) et Exposition Universelle, Paris, 1900 (pour la nef)
Service « Juvisy », créé en 1867 pour l’Exposition Universelle de Paris et commandé en 1899 par le pré¬sident de la République Française Emile Loubet pour le palais de l’Elysée
Service « Harcourt », 1841
Service « Paraison », commandé pour le Maharadjah d’Indore en 1933 pour son palais art déco de Manik Bagh
Verre à vin du service « Jean Bart », créé par Georges Chevalier pour l’exposition Internatio¬nale des Arts Décoratifs de 1925 et commandé pour le prince de Galles en 1930
Verre à vin du service « Beauvais », créé en 1878 pour l’Exposition Universelle de Paris et commandé en 1909 pour la famille impériale du Japon
Calices couverts et verre à jambe haute peints à l’or en relief, Exposition Internationale de l’Est de la France, Nancy, 1909
Verre à eau du service « Harcourt », com¬mandé vers 1860 pour Napoléon III
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